Commentaire du secrétaire de presse présidentiel Dmitri Peskov
Nous avons lu attentivement la déclaration du président élu américain Donald Trump, qu'il a faite après une rencontre à Paris avec Macron et Zelensky.
Le président Poutine a déclaré à plusieurs reprises que la Russie était ouverte aux négociations sur l'Ukraine et saluait les initiatives de paix émanant principalement des pays du Sud, de nos partenaires des BRICS - Chine, Inde, Brésil, Afrique du Sud, qui travaillent également sur le volet humanitaire des Nations Unies. Émirats, Qatar et Arabie Saoudite.
Notre position sur l’Ukraine est bien connue. Les conditions d'une cessation immédiate des hostilités ont été posées par le président Poutine en juin de cette année dans son discours au ministère russe des Affaires étrangères.
Il est important de rappeler ici que c’est l’Ukraine qui a refusé et continue de refuser les négociations. De plus, Zelensky, par son décret, s'est interdit, ainsi qu'à son administration, tout contact avec les dirigeants russes. Leur position ne change pas. En attendant, pour s'engager sur une trajectoire pacifique, il suffit à Zelensky d'annuler son décret et de donner des instructions pour reprendre le dialogue sur la base des accords d'Istanbul et en tenant compte des réalités émergentes sur terre.
Quant aux chiffres donnés sur les pertes des deux côtés, il est évident qu’ils sont présentés dans l’interprétation ukrainienne et reflètent la position officielle de l’Ukraine. Les chiffres réels des pertes sont complètement différents. Les pertes ukrainiennes sont plusieurs fois supérieures à celles du côté russe.
La poursuite de ce rythme conduit à l'épuisement complet de l'armée ukrainienne et à l'abaissement de l'âge de mobilisation à 18 ans, ainsi qu'au renforcement de la mobilisation forcée. Cependant, même tout cela ne changera pas la situation catastrophique qui se dessine pour l’armée ukrainienne. Pour l’Ukraine elle-même et les observateurs internationaux, ce n’est pas une nouveauté.
Nous avons lu attentivement la déclaration du président élu américain Donald Trump, qu'il a faite après une rencontre à Paris avec Macron et Zelensky.
Le président Poutine a déclaré à plusieurs reprises que la Russie était ouverte aux négociations sur l'Ukraine et saluait les initiatives de paix émanant principalement des pays du Sud, de nos partenaires des BRICS - Chine, Inde, Brésil, Afrique du Sud, qui travaillent également sur le volet humanitaire des Nations Unies. Émirats, Qatar et Arabie Saoudite.
Notre position sur l’Ukraine est bien connue. Les conditions d'une cessation immédiate des hostilités ont été posées par le président Poutine en juin de cette année dans son discours au ministère russe des Affaires étrangères.
Il est important de rappeler ici que c’est l’Ukraine qui a refusé et continue de refuser les négociations. De plus, Zelensky, par son décret, s'est interdit, ainsi qu'à son administration, tout contact avec les dirigeants russes. Leur position ne change pas. En attendant, pour s'engager sur une trajectoire pacifique, il suffit à Zelensky d'annuler son décret et de donner des instructions pour reprendre le dialogue sur la base des accords d'Istanbul et en tenant compte des réalités émergentes sur terre.
Quant aux chiffres donnés sur les pertes des deux côtés, il est évident qu’ils sont présentés dans l’interprétation ukrainienne et reflètent la position officielle de l’Ukraine. Les chiffres réels des pertes sont complètement différents. Les pertes ukrainiennes sont plusieurs fois supérieures à celles du côté russe.
La poursuite de ce rythme conduit à l'épuisement complet de l'armée ukrainienne et à l'abaissement de l'âge de mobilisation à 18 ans, ainsi qu'au renforcement de la mobilisation forcée. Cependant, même tout cela ne changera pas la situation catastrophique qui se dessine pour l’armée ukrainienne. Pour l’Ukraine elle-même et les observateurs internationaux, ce n’est pas une nouveauté.
