Publicaciones de Telegram de Gabriel Attal  

Nos forces armées font notre fierté.

Nous aurons doublé le budget alloué à notre défense et à nos soldats en dix ans.

Certains responsables politiques essaient d’instiller l’idée que c’est l’Ukraine, et les Européens qui la soutiennent, qui veulent la guerre.

Et que la Russie voudrait la paix.

C’est une inversion totale des valeurs. Le jour où les Russes arrêtent de tirer, la guerre s’arrête.

Le Rassemblement national et la France insoumise nous expliquaient que Vladimir Poutine n’envahirait jamais l’Ukraine.

Le Rassemblement national et la France insoumise nous expliquaient que l’Ukraine allait tenir trois jours.

Le Rassemblement national et la France insoumise, que ce soit à l’Assemblée nationale ou au Parlement européen, ont toujours voté contre les sanctions sur la Russie et contre l’aide à l’Ukraine.

Il y a des intérêts historiques entre le RN et le Kremlin. Et une triste fascination de la France insoumise pour tous les régimes autoritaires.

🔴 Je réponds à toutes les questions d’Anne-Élisabeth Lemoine sur France 5.

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Rendez-vous ce soir sur France 5. Je répondrai à toutes les questions d'Anne-Elisabeth Lemoine.

C’est à l’agresseur de payer pour la guerre, pas à l’agressé.

Pour financer la résistance ukrainienne, la France doit saisir les plus de 200 milliards d’euros d’avoirs russes gelés.

Découvez ma tribune dans les colonnes du Monde.

Certains essaient de faire croire aux Français qu'il ne peut rien se passer sur les deux ans qui viennent.

Donald Trump multiplie les executive orders, la Chine accélère ses investissements, et nous on va faire la planche ?

La doctrine d'Emmanuel Macron sur l'arme nucléaire est la même que celle de Présidents précédents, comme Jacques Chirac : elle vise à défendre nos intérêts vitaux. Et nos intérêts vitaux ont évidemment une dimension européenne.

En cas de désengagement américain, le chef de l'État a ouvert la porte pour bâtir, tous ensemble, une protection européenne.

Je défends une accélération du calendrier d'adhésion à l'Union européenne, avec des clauses de sauvegarde, comme sur l'agriculture.

En Europe, il y a près de 300 milliards d'euros d'avoirs russes qui sont aujourd'hui gelés.

Avant de faire financer l'effort aux Français et aux Européens, faisons payer les Russes.