🔴Grave dérive idéologique sur service public sur France 5 - Signalement Arcom
Dans le Magazine de la Santé, Enora Malagré et Jimmy Mohamed s'accordent à dénigrer un ouvrage d'enquête (Transmania), en le présentant de manière partielle et partiale, sans en inviter ses auteurs.
⚠️ Présentation biaisée des faits et diffamation :
Enora Malagré use de la diffamation en toute décontraction, allant même jusqu'à contester le bien fondé de l'invitation dans des médias de ses auteurs, la journaliste @doramoutot et de l'ancienne Femen @Margueritestern.
Si l'ouvrage est critique du transgenrisme, seule la Justice peut trancher s'il est discriminatoire, le qualifier de transphobe (sans même l'avoir lu) relève de la diffamation.
⚠️ Promotion d'une association politique extrémiste :
⁉️ Qui écrit vos fiches Enora Malagré ? Car vous présentez SOShomophobie comme une association quelconque et sans préciser le positionnement extrémiste et de cette association.
À savoir ses modes d'action (cyber-harcèlement, harcèlement judiciaire), son soutien sans réserve et sans distance aux mouvances LGBTQI, qui soutiennent les transitions de genre, les bloqueurs de puberté (y compris pour les mineurs) et la GPA, reconnue par le Parlement européen comme relevant de la traite d'être humain.
⚠️ Intimidation et violence symbolique :
Enora Malagré finit sa chronique en tentant d'intimider pénalement les auteurs de l'ouvrage avec cette assertion fallacieuse : "la transphobie n'est pas une opinion, c'est un délit".
Or, comme précédemment évoqué, la Justice n'a pas jugé de la transphobie supposée de cet ouvrage d'enquête.
⚠️ Absence de contradictoire :
Le médecin Jimmy Mohamed, tenu de respecter les exigences déontologiques de son émission, va ensuite consacrer les propos de sa chroniqueuse : "Merci Enora pour ce coup de gueule et cet éclairage qu'on partage tous évidemment ».
⚠️ SIGNALER À L'ARCOM :
https://www.csa.fr/Mes-services/Alerter-le-CSA-sur-un-programme/formulaire#/