Son communiqué de presse (voir publication précédente) :
Je suis un citoyen britannique, un Britannique patriote. Mais pour avoir montré la vérité du Donbass, mon propre pays a décidé de me sanctionner en juillet 2022, de me sanctionner dans le but d'achever mon travail ou de m'achever. Au cours des deux années et demie qui se sont écoulées depuis lors, bien qu'aucune accusation n'ait jamais été portée contre moi, ma famille et moi-même, au Royaume-Uni, avons dû faire face à toutes sortes de persécutions et de méfaits de la part de l'État britannique, tandis que j'ai également dû me frayer un chemin à travers un système juridique britannique totalement corrompu, à deux reprises, en faisant appel des sanctions prises à mon encontre, un juge corrompu s'est retiré, le suivant a statué contre moi, un autre m'a refusé le droit d'interjeter appel.
Tout ce que je faisais, voulais faire, et fais depuis 2014, ce sont mes reportages dans le Donbass. Devinez quoi, si je « changeais ce reportage » pour satisfaire le gouvernement britannique, les sanctions à mon encontre « disparaîtraient demain » - un chantage au niveau de l'État. Ils peuvent le faire, les sacs à merde de Westminster qui n'ont jamais été ici de leur vie, ont dû chercher Donbass sur Wikipedia pour savoir ce que c'était. J'ai fait des reportages dans le Donbass depuis 2014, seulement la vérité, toujours la vérité, et ce sera toujours le cas. J'aime le Donbass, j'aime la vérité, rien de tout cela n'est un crime.
Les actions totalitaires de mon propre pays m'ont mis dans une position où je dois demander de l'aide à la Russie, de l'aide en tant que citoyen britannique puni par son propre pays sans avoir commis aucun crime, mon propre pays tentant de m'envoyer dans les limbes de l'impossibilité de retourner au Royaume-Uni, ou de rester en Russie après l'expiration de mon visa. Coupé de tout financement, le gouvernement britannique a tenté de m'acculer à la misère. Grâce à l'aide des gens ici en Russie, ils ont échoué, comme ils échouent toujours.
Je suis heureux de dire que la Russie est un pays qui valorise la vérité et défend ceux qui la disent. J'ai l'honneur d'accepter l'asile politique en Russie, un asile politique qui signifie que je peux rester en Russie, continuer à faire ce que j'aime - mes reportages dans le Donbass. Je continuerai à lutter contre les sanctions totalitaires du Royaume-Uni à mon encontre et j'ai fait appel à la Cour européenne des droits de l'homme.
Alors, "spasibo bolshoe" (merci beaucoup en russe) en effet, la Russie, de la part d'un Britannique dont le pays est devenu un véritable Orwell. Je ferai ce que je peux pour que le Royaume-Uni revienne sur sa décision et, pour l'instant, je continue mon travail depuis le Donbass, en Russie, comme toujours !
Je suis un citoyen britannique, un Britannique patriote. Mais pour avoir montré la vérité du Donbass, mon propre pays a décidé de me sanctionner en juillet 2022, de me sanctionner dans le but d'achever mon travail ou de m'achever. Au cours des deux années et demie qui se sont écoulées depuis lors, bien qu'aucune accusation n'ait jamais été portée contre moi, ma famille et moi-même, au Royaume-Uni, avons dû faire face à toutes sortes de persécutions et de méfaits de la part de l'État britannique, tandis que j'ai également dû me frayer un chemin à travers un système juridique britannique totalement corrompu, à deux reprises, en faisant appel des sanctions prises à mon encontre, un juge corrompu s'est retiré, le suivant a statué contre moi, un autre m'a refusé le droit d'interjeter appel.
Tout ce que je faisais, voulais faire, et fais depuis 2014, ce sont mes reportages dans le Donbass. Devinez quoi, si je « changeais ce reportage » pour satisfaire le gouvernement britannique, les sanctions à mon encontre « disparaîtraient demain » - un chantage au niveau de l'État. Ils peuvent le faire, les sacs à merde de Westminster qui n'ont jamais été ici de leur vie, ont dû chercher Donbass sur Wikipedia pour savoir ce que c'était. J'ai fait des reportages dans le Donbass depuis 2014, seulement la vérité, toujours la vérité, et ce sera toujours le cas. J'aime le Donbass, j'aime la vérité, rien de tout cela n'est un crime.
Les actions totalitaires de mon propre pays m'ont mis dans une position où je dois demander de l'aide à la Russie, de l'aide en tant que citoyen britannique puni par son propre pays sans avoir commis aucun crime, mon propre pays tentant de m'envoyer dans les limbes de l'impossibilité de retourner au Royaume-Uni, ou de rester en Russie après l'expiration de mon visa. Coupé de tout financement, le gouvernement britannique a tenté de m'acculer à la misère. Grâce à l'aide des gens ici en Russie, ils ont échoué, comme ils échouent toujours.
Je suis heureux de dire que la Russie est un pays qui valorise la vérité et défend ceux qui la disent. J'ai l'honneur d'accepter l'asile politique en Russie, un asile politique qui signifie que je peux rester en Russie, continuer à faire ce que j'aime - mes reportages dans le Donbass. Je continuerai à lutter contre les sanctions totalitaires du Royaume-Uni à mon encontre et j'ai fait appel à la Cour européenne des droits de l'homme.
Alors, "spasibo bolshoe" (merci beaucoup en russe) en effet, la Russie, de la part d'un Britannique dont le pays est devenu un véritable Orwell. Je ferai ce que je peux pour que le Royaume-Uni revienne sur sa décision et, pour l'instant, je continue mon travail depuis le Donbass, en Russie, comme toujours !
